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Message par Aile du dragon Ven 10 Mai - 19:26

Voici une nouvelle faites pour un concours organiser par mon collège.
Comme j'adore écrire j'ai tout de suite sauté sur l'occasion et est fait de mon mieux pour créer une histoire originale et passionnante.
J'ai décider de vous la partager et j'espère qu'elle vous plaira !
(attention les critiques du genre : "c'est nul", "apprend à écrire" ou autre son interdite sans une justification)
Bon j'arrête mon blabla et vous laisse tranquille à partir de maintenant ! :DD










L’académie Aria





Elle marchait à travers
la foule sans se soucier de la pluie qui ruisselait le long de ses longs
cheveux et de sa robe rouge. Elle n’en pouvait plus. Pourquoi n’acceptait-elle
pas de l’inscrire dans cette académie de musique. Elle en rêvait depuis toute
petite ! Au bout d’un certain temps, elle s’arrêta, se retourna et vit son
majordome qui la suivait. Il était
grand, vêtu d’un uniforme noir.



-Mademoiselle, il faut
que vous rentriez, madame va commencer à s’inquiéter.



A contre cœur, elle le
suivit et rentra dans une voiture noir aux vitres tintées. Pourquoi devait-elle
vivre ainsi ! Elle n’avait que faire des belles robes, bijoux ou chaussures
que sa mère lui offrait. Elle ne voulait pas devenir mannequin ! Elle
voulait étudier la musique !



-Que diriez-vous d’une
petite leçon de violon pour vous détendre quand nous arriverons à la
maison ?



Elle acquiesça de la
tête. Le violon. C’était la seule chose qui la faisait rêver. Dès qu’elle le
prenait en main et commençait à en jouer, elle oubliait qui elle était et tous
ses soucis. C’est ce que sa mère ne comprenait pas. Elle était persuadée que
Marie deviendrait mannequin.



-Mademoiselle nous
sommes arrivés.






A peine était-elle
descendu que trois majordomes vinrent la sermonner. C’était toujours le même
refrain. Pourquoi était-elle partie sans prévenir en plein milieu de son cours ?
Pourquoi était-elle toute trempée ? Comme d’habitude Sébastian, son
majordome, les renvoya à leurs occupations et comme d’habitude ils rentrèrent
par la porte de derrière pour que la mère de Marie, Anièce, ne les remarque
pas. Arrivés dans la chambre de Marie, Sébastian souleva son lit et elle en
retira une boîte. La boîte qui contenait le fameux violon. Elle l’ouvrit, le
sortit, retendit l’archet, installa le cousin, l’accorda et se mit à jouer
quelques notes pour le tester. Pendant ce temps, Sébastian installa un pupitre
avec quelques partitions qu’il avait sorti de derrière l’armoire. Quand tout
fut fin prêt, Marie commença à jouer. Le morceau avait été convoqué par
Sébastian. Il était doux et rapide à la fois. Marie arrivait à le jouer à la
perfection. Elle aussi, un jour, elle composerait son propre morceau. Puis,
après quelques minutes de pur bonheur, Marie s’arrêta brutalement et, la porte
explosa littéralement et laissa place à une mère très mécontente. Mince, Marie
s’était fait avoir, les trois majordomes avait du rapporter.



-Mère, je vais tout vous
expli…



-Inutile, coupa la mère
de Marie, je sais déjà tout. Pourquoi m’as-tu caché que tu jouais si bien de
cet instrument !



Marie ne comprenait
plus. Elle s’attendait à ce que sa mère la punisse, casse son violon, l’enferme
à jamais dans la maison … Mais là elle ne sut quoi dire ! Sa mère avait
l’air heureuse !



-Ecoute Marie, reprit
déjà sa mère, je ne savais pas que tu voulais autant étudier la musique. Tu
aurais dû me le dire ou tout simplement me jouer de ce violon pour me
convaincre. J’annule tes cours de mannequin et tout le reste et, comme je ne
peux pas te l’enseigner moi-même, je vais t’inscrire dans une école de musique.
Je me suis trompée je m’en excuse.



Là c’en était trop pour
Marie. Elle s’effondra par terre et se mit à pleurer toutes les larmes de son
corps. Enfin ! Enfin sa mère avait compris. Sébastian était heureuse pour
elle, remercia Anièce et félicita Marie. Quand elle fut calmée, sa mère partit
l’inscrire. Elle débutera son apprentissage à l’académie Aria dans une semaine.
Qu’est-ce qu’elle avait hâte !






Une semaine plus tard,
une voiture noire aux vitres teintées se gara devant l’académie Aria et une
jeune fille en descendit. Elle portait l’uniforme de l’académie. C’était une
jupe rouge à carreaux avec un haut blanc et une cravate rouge également. Elle
dit au revoir à son majordome et rentra dans la bâtisse. Elle ne le reverrait
plu avant longtemps. L’école étant trop loin pour faire l’aller et retour tous
les jours, Marie avait du s’inscrire en tant qu’interne. A peine avait-elle
fait quelques pas qu’un jeune homme l’apostropha :



-Excusez-moi, êtes-vous
bien Mademoiselle Mc Keel ?



Il mesurait environ un mètre
quatre-vingt et transportait une guitare sur son dos. C’est ce que supposa Marie, puisque son étui en avait la forme.
Elle acquiesça de la tête et le jeune homme continua :



-Je m’appelle Robin Midoré
mais appelle moi seulement Robin. Le directeur m’a prévenu de ta venue et m’a
demandé de te faire visiter cette académie. Suis moi, nous avons le temps, les
cours ne commencent que dans une heure.






Pendant une heure, Marie
suivit Robin dans cette académie. Elle remarqua très vite qu’elle était
immense. Ils passèrent au réfectoire, dans les salles de cours (elle était dans
la même classe que Robin), dans les dortoirs, le jardin intérieur, extérieur,
les salles de musiques, la bibliothèque et enfin les vestiaires. Quand ils
eurent fini de visiter, la cloche sonna et ils se rendirent dans leur classe.
Marie attendit à la porte. Elle était nouvelle et devait se présenter. Elle
avait emmené son violon et se sentait essoufflée du fait d’avoir marché de long
en large dans cette académie et confiante. Quand le professeur l’appela, elle
rentra dans la classe et se présenta :



-Je m’appelle Marie Mc
Keel et je joue du violon. Je suis ravie de faire votre connaissance.



Elle s’inclina et son professeur lui demanda d’aller
s’asseoir à une table. Elles étaient individuelles mais de son côté gauche se
trouvait Robin et de son côté droit une jeune fille de son âge, brune, avec de
grands yeux bruns. Elle sut plus tard qu’elle s’appelait Capucine.






A la fin des cours, elle
suivit Robin jusqu’au réfectoire puis, après avoir déjeuné se rendit au
dortoir. Ses valises avaient dû arriver. Effectivement, quand elle rentra dans
sa chambre elle les trouva ainsi que son lit, son bureau et aussi Capucine.
Elle devait donc partager sa chambre avec elle. Elle allait parler quand déjà
Capucine l’apostropha :



-Bonjour, moi c’est
Capucine. Nous sommes désormais voisines de classe et de chambre. Si tu as un
quelconque problème n’hésite pas à me demander, je serais ravie de
t’aider !



Marie la remercia, alla
se laver puis s’assit à son bureau pour faire ses devoirs. Elle déballerait ses
cartons au fur et à mesure. Vers vingt heures elle alla se coucher. Elle se
plaisait déjà dans cette académie. Pourvu que cela dure.



Le lendemain matin, elle
se réveilla, s’habilla, se coiffa et alla manger en compagnie de Robin et de
Capucine. Elle c’était fait des amies, c’était déjà ça ! Ils discutèrent
un peu puis quand la cloche sonna ils se rendirent dans leur salle de cour. Monsieur Moret, leur
professeur principal, les attendait. Quand tout le monde fut assis, il prit la
parole :



-Vous commencerez, dès
aujourd’hui, à composer une mélodie avec des paroles. Je vous laisse choisir
vos partenaires et votre mode de fonctionnement. Vous avez quartier libre
pendant une semaine, puis vous serez évalués au bout de ce délai. Allez-y !



Sur ces mots tous les
élèves sortirent, un à un, de la classe à la recherche de partenaire et
d’inspiration. Marie, elle était resté assise et avait attendu que tout le
monde sorte. Puis elle s’était levée et avait suivi Robin et Capucine jusqu’à
la salle de musique. Bien sûr elle faisait équipe avec eux ! Heureusement
qu’elle se baladait tout le temps avec son violon ! Robin aussi avait
constamment sa guitare. Mais Capucine, elle, ne portait rien du tout sauf son
sac de cours. Ayant remarqué que Marie la regardait elle lui expliqua que,
elle, elle préférait chanter. Super ! Ils n’avaient pas besoin de
rechercher un chanteur ! Ils travaillèrent pendant au moins quatre heures,
puis pensant qu’ils avaient bien avancé, allèrent se balader. Le jardin de
l’académie était très vaste et, au bout d’un moment, ils s’assirent sous un
arbre. A la demande de Robin et de Capucine, Marie leur joua un morceau de violon,
composé par son majordome, pendant au moins dix minutes. Quand elle s’arrêta,
Robin et Capucine l’applaudirent ainsi que tous les élèves qui s’étaient
arrêtés pour l’écouter. Marie était très heureuse et continua ainsi jusqu’à la
sonnerie des cloche annonçant le retour au dortoir. Elles saluèrent Robin et
partirent dans leur chambre. Marie s’endormie rapidement.






Quand son réveille
sonna, elle l’éteignit, se prépara et descendit au réfectoire. Robin et
Capucine y était déjà ainsi que deux autres élèves qu’elle ne connaissait pas. Ils
se présentèrent tour à tour. Le premier se nommait Stanislas et le second ou
plutôt la seconde Amélie. Ils étaient jumeaux. Ils rêvaient de faire partis du
groupe de Robin depuis leur plus jeune âge. Ils étaient amis d’enfance et ne se
séparaient jamais. Mais depuis l’arrivée de Marie, Robin s’était éloigné d’eux.
Stanislas et Amélie avaient le même âge
que Marie, Robin et Capucine. Quand elle fut assise celui-ci lui
expliqua :



-Stanislas et Amélie
nous demandaient si l’on voulait bien les accepter dans notre groupe. On
aimerait avoir ton avis. Capucine ne veut pas. Elle veut que l’on reste tous
les trois, ce qui ne leur a pas plu, ajouta-t-il à l’oreille de Marie. Quant à
moi je leur ai dit que je devais y réfléchir.



Marie partagait l’avis
de Capucine mais décida de tout leur dire à la fin du petit-déjeuner. Quand ils
eurent fini, elle leur expliqua poliment qu’elle ne voulait pas d’eux dans leur
équipe et qu’ils avaient déjà fait leur choix définitif. Stanislas et Amélie
repartirent très mécontent et Marie se demanda si elle avait fait le bon choix.
Pendant au moins cinq heures ils retravaillèrent sur leur composition, Robin
essayait de composer la mélodie imaginée par Marie et Capucine essayait de
composer ses propres paroles. Puis au bout d’un moment monsieur Moret appela
Marie, la fit venir dans leur salle de classe et l’emmena droit devant son pupitre.
Dessus était dessiné plein de graffitis ou de mots les plus incohérents que les
autres. Marie ne comprenait pas. Elle n’était pas retournée dans la salle de
classe depuis le début de la composition. Elle eut beau expliquer à monsieur
Moret qu’elle n’y était pour rien, celui-ci ne voulut rien entendre et la fit
nettoyer son pupitre. Marie après être rentrée exténuée au dortoir et, après
avoir expliqué son absence à Capucine se coucha et s’endormit.






Les deux jours suivants,
elle eut beaucoup de problèmes. Ses chaussures avaient disparu et, après les
avoir cherché toute la matinée, elle les avait retrouvé perché dans un arbre.
Son casier avait aussi été tagué et elle avait encore dû le nettoyer. Elle
avait aussi retrouvé son cahier de composition qu’elle avait oublié dans la salle
de musique déchiré. Toute sa composition avait disparu. Elle avait du tout
recommencer. Mais ce qui lui arrivait en ce moment n’était rien comparé à ce
qui aller se passer !






Au bout du quatrième
jour, sans aucune raison, Le directeur convoque Marie. Mais qu’avait-elle fait
pour mériter ça ! Quand elle arriva dans le hall d’attente, elle y trouva
Stanislas et Amélie. Mais que faisaient-ils ici ? Avaient-ils été aussi
convoqués par le directeur ? Elle ne leur posa pas la question et
s’intéressa plutôt à une revue posée sur une table. Elle la prit ouvrit une
page au hasard et commença à lire « Floride
avait eu de la peine à voir le mal où il était mais elle eut plus de mal encore
à trouver bien ce qui ne l’était pas. »
Elle n’eut pas le temps de
réfléchir sur cette phrase que la porte s’ouvrit sur la secrétaire du directeur
qui les invita à rentrer.



Le bureau du directeur était simplement muni
d’un grand bureau, de trois chaises et de quelques armoires remplies de livre.
Quant au directeur, il était assis en face de son bureau. Marie, Stanislas et
Amélie s’inclinèrent et il les invita à venir s’asseoir en face de lui. Après
s’être installés il commença à parler :



-Mademoiselle Mc Keel, à
la demande de ces frères et sœur, je vous ai convoqué pour régler quelques
petits problèmes. En effet ils se sont plains que vous les insultiez. Hier
leurs tables se sont retrouvées toute taguer avec en guise de signature
« M. Mc K. ». Il n’y a que vous, dans cette académie, portant ces
initiales. J’aimerai maintenant que vous m’expliquiez pourquoi vous aviez fait
ça.



Alors là Marie était perplexe. Elle regarda les
deux jumeaux qui arboraient un sourire satisfait. Les monstres ! Ils
avaient dû faire cela tout simplement parce que Marie les avait refusé dans
leurs groupe ! C’est à ce moment-là que la phrase qu’elle venait de lire
dans la salle d’attente lui revint à l’esprit. Marie n’aurait jamais du refuser
leur demande ! Mais le mal était fait et elle devait assumer ses actes. Elle
eut beau expliquer au directeur que c’était un malheureux accident, qu’elle
n’aurait jamais fait cela, il ne voulut pas la croire. Elle lui expliqua même
pourquoi elle les avait refusés dans leurs groupes.



-Mademoiselle, tous ceux
qui passent dans ce bureau pour le même motif que vous disent exactement la
même chose. Et vous croyez vraiment que je vais avaler une histoire
pareille ?



Marie eut beau protester
et supplier encore et encore, le directeur restait de marbre et refusait de la
croire. Puis au bout d’un moment de silence qui lui parut interminable, il prit
enfin la parole.



-Comme je vois que vous
n’êtes pas décidée à coopérer, je vous propose un marché. J’ai entendu dire que
vous travailliez, depuis quelques temps, sur une composition ? Elle acquiesça.
Et bien si vous et vos camarades, avez la meilleure note à cette composition je
passe tout soupçon sur ce malheureux accident. En revanche, si vous échouer, je
vous renvoie de cette école. En attendant, vous devez nettoyer vos bêtises.



C’était risqué, très
risqué. Comme ses pages de cahier avaient été déchirées, Marie, Robin et Capucine
avaient pris du retard dans leurs compositions. Néanmoins, elle n’avait pas le
choix. Elle voulait absolument rester dans cette académie et ce n’était pas
Amélie, Stanislas ou encore même le directeur qui allait l’en empêcher !
Elle accepta, sortie du bureau et partit en informer Robin et Capucine. Il
fallait absolument qu’ils s’y mettent maintenant. Il ne leur restait que deux
jours. En attendant elle devait déjà nettoyer les tables qu’elle avait, soi-disant,
gribouillées.






Après avoir fini de
nettoyer elle partit les voir. Ils étaient assis sur un canapé dans le petit
salon mixte du dortoir. Quand Marie arriva, ils se poussèrent pour lui laisser
une place. Elle s’assit entre eux deux avec reconnaissance. Ne pouvant plus
attendre ils la questionnaire sur ce qui lui était arrivée. Marie leurs
expliqua tout en détail sans en oublier un seul. Quand elle eut fini de leur
conter sa mésaventure avec le directeur, Amélie et Stanislas, Robin fut
outragé, il ne les imaginait pas du tout comme cela, ils étaient tellement gentil
et sans défense étant petits ! Capucine, elle, pour rassurer Marie lui dit
qu’elle avait bien fait d’accepter la condition du directeur. Ils feraient tout
leur possible, durant ces deux derniers jours, pour finir leur composition à
temps. Ils s’y mettraient le lendemain. En attendant, il fallait que Marie se
repose, sa journée avait été forte en émotions. Elle monta donc avec Capucine
après avoir souhaité bonne nuit à Robin qui partit dans le dortoir des garçons.






Le lendemain, dernier
jour pour finir la composition, Marie, Robin et Capucine se rendirent, comme toujours,
dans la salle de musique. Ils étaient plus que motivés et, pendant toute la
matinée, ils travaillèrent d’arrache-pied pour la terminer. Midi passé, Marie
leur proposa d’aller prendre l’air. Ils acquiescèrent et partirent en direction
du parc. Pendant tout le long, ils ne dirent pas un mot. Ils étaient tous
plongés dans leurs pensées. Il fallait absolument qu’ils réussissent pour que
Marie reste dans cette académie ! Au bout de quelque temps, n’y tenant
plus, ils repartirent pour la finaliser et se couchèrent au environ de
vingt-deux heures. Ils étaient très fatigué mais fier d’avoir enfin pu finir
leur composition. En se couchant Marie entendit Capucine répéter ses paroles.
Elle sourit et s’endormit d’un seul coup.






Le jour de l’évaluation,
Marie, Robin et Capucine était tous tendu. Allaient-ils réussirent ? Cette
question taraudait leurs esprits, les empêchant de se concentrer. Avant de
rentrer dans la salle d’audition, ils avaient tiré un petit papier. Le leur
afficher le chiffre « 8 ». Huit groupes s’étaient formés, ils
passaient donc en dernier.



La cloche sonna, le
septième groupe sortit de la salle d’enregistrement. Les jurys appelèrent le
groupe de Marie. Ils rentrèrent dans la salle, s’installèrent sans un bruit,
Marie sortit son violon et l’accorda, Robin sortit sa guitare et l’accorda
aussi tandis que Capucine se plaçait devant le micro et s’échauffa la voix. Ils
pouvaient, non, ils devaient réussir ! Au moment où ils allaient
commencer, quelqu’un rentra dans la salle d’audition. C’était le
directeur ! Il se dirigea vers Marie se pencha sur elle et lui chuchota
quelques mots à l’oreille. Au fur et à mesure de ses paroles, le visage de
Maire s’adoucie puis elle se mit à sourire. Elle remercia le directeur juste
avant que celui-ci ne sorte et regarda Robin et Capucine avec un sourire
éclatant. Ils ne mirent pas longtemps à en comprendre la signification et,
quand ils commencèrent enfin à jouer, ils étaient tous confiant.






Alors ne te l'ai-je pas dit ?
Que si tu perds de vue tes faiblesses,
Tu ne pourras pas aller de l'avant.
Mon ombre se met en scène, mais n'émeut personne.
Même après une nuit de tourments et de solitude,
Il y aura toujours la lueur attendue du matin.
Ma faiblesse qui feint mon impuissance,
Et la reconnaissance de ma propre force.






It is only the beginning.
It is possible
From now on I forge ahead,
By walking,
By running,
No matter the time which
that will take.






Avec une voix qui sonne faux
Hurlant "Et alors ? "
Comme si j'allais abandonner !
Peux-tu le faire ?
De toute façon, ça ne me fait plus peur.
Aujourd'hui, par moi-même,






I
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We can do it !
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Message par Griffe de crystal Sam 11 Mai - 9:03

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Message par Plume de Saphir Sam 11 Mai - 10:48

Il m'est impossible de rien dire, car tu as beaucoup écrit. Je trouve ce texte plus que magnifique. Imagine que si tu écrit une suite aussi bien que ce texte, ton histoire pourrais être publiée, et devenir célèbre !! J'adore la façon dont tu écrit, tu explique. On perçois très bien la joie, la tristesse, la fureur... Et toutes les autres émotions. J'adore.

Bravo !! Argy
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Message par Aile du dragon Sam 11 Mai - 12:06

C'est bizarre Mew' m'a dit exactement la même chose au niveau de la publication x)). C'est vrai que j'adorerai qu'un de mes livres, plus tard, sois publier, ce serais mon rêve !
Dans tout les cas merci pour tout tes compliments, Plume de saphir, ça m'a vraiment touché et ça me donne encore plus de courage dans ma tâche. Si vous voulez je peux écrire une suite ! :DD
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